SAHC Société Archéologique et Historique de Chelles

Fondée le 20 mai 1904 par le chanoine Alfred Bonno, curé de Chelles (mort en 1921), la S.A.H.C. Société Archéologique et Historique de Chelles a pour but de propager le goût des recherches historiques et archéologiques.

Aujourd'hui la S.A.H.C., association régie par la loi de 1901, sous la présidence de Jean-Pierre Thoretton, réunit les amateurs d'histoire, de patrimoine de Chelles et de la région.

La société Archéologique et Historique de Chelles organise :

• des conférences,
• des expositions,
• des sorties lors desquelles vous visitez des lieux chargés d'histoire.

Nous participons au carrefour des associations où vous pouvez nous rencontrer. Nous participons également aux Journées Européennes du Patrimoine pendant lesquelles, vous pouvez visiter la Villa Max et le jardin attenant. De plus, nous organisons, à la Villa Max, des "après-midi portes ouvertes" quatre fois par an.

Nous publions chaque année un bulletin de qualité traitant d'une des facettes de notre histoire locale. C'est souvent le résultat du travail de longue haleine des plus passionnés d'entre nous, incluant notamment des recherches aux archives.

Jeunes ou moins jeunes, vous êtes intéressés par l'histoire ! Quelles que soient vos connaissances, venez nous rejoindre.

Moyennant une cotisation annuelle, vous pourrez assister aux conférences, recevoir le Petit-journal, notre publication annuelle et participer à nos sorties gratuites ou payantes.

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La Villa Max est représentative du développement urbain que Chelles a connu dans le dernier tiers du XIXe siècle consécutif, notamment, à l'ouverture de la ligne de Chemins de Fer « Paris-Meaux » à partir de 1849.

Alors que la Villa tombait en déshérence, la Ville de Chelles la rachète, en 2004, et signe une convention de réhabilitation avec la société archéologique et historique de Chelles, qui y établit ses quartiers.

Son jardin, resté très proche de sa conception d'origine, évoque, toutes proportions gardées, celui des Buttes-Chaumont, inauguré en avril 1867.

La maison, représentative également de l'architecture régionaliste en vogue à cette époque, comporte trois niveaux habitables édifiés sur un sous-sol complet. La tour comporte un niveau supplémentaire.

Lancée en 2013, la première phase du chantier avait pour but de réhabiliter l'intérieur du pavillon, en conservant ses matériaux d'origine. Des travaux de mise aux normes ont également été réalisés, à la charge de la municipalité.

Le rez-de-chaussée permet la présentation de petites expositions diverses.

Depuis, ce sont les extérieurs qui sont mis à l'honneur chaque été. Plusieurs façades, ainsi que les parties en ardoise et en briques, ont déjà subi un rafraîchissement

La conservation, la réhabilitation, la mise en valeur, et l'ouverture au public permet de valoriser le patrimoine urbain du Chelles du XIXe siècle, en montrant un exemple concret des modes architecturales et paysagères de cette période.

En 2019, la Villa Max a obtenu le label « Chellois remarquable », créé par la ville pour distinguer les bâtiments historiques chellois non protégés.